Justice

Togo : Une justice et des acteurs indépendants

Au Togo, le chef de l’État Faure Essozimna Gnassingbé veut bâtir un pays dans lequel la paix et la justice sont les fondements. La quête d’une justice plus égalitaire a commencé dès sa prise de fonction pour donner aux compatriotes le sentiment d’appartenir à une nation soudée, où les droits humains sont protégés.

Il est assuré la protection des droits des citoyens et la promotion d’un système juridique juste et surtout transparent. Cette transformation positive est obtenue grâce à des actions.

Réformes législatives

On peut citer la révision des lois et des codes qui garantissent l’égalité de tous devant la loi, indépendamment du statut social, économique ou ethnique.

La Banque mondiale, dans son classement « Women, Business and the Law 2024 », souligne que le Togo a le système légal le plus favorable aux femmes et est l’un des plus favorables au monde. L’examinateur trouve que le pays adopte des lois qui donnent aux femmes environ 77 % des droits disponibles pour les hommes. C’est plus que tout autre pays du continent.

Toujours selon le rapport de l’institution susmentionnée, en ce qui concerne l’écart de mise en œuvre entre les lois et la pratique, le Togo affiche un score de 77,5. C’est un chiffre qui est l’un des meilleurs d’Afrique et du monde.

D’autres lois existent et promeuvent par exemple les enfants (leur scolarisation, leur hospitalisation, les questions liées à leur nutrition, etc.), les personnes handicapées, les personnes du troisième âge, etc.

Une justice et des acteurs indépendants

Pour que tout soit en norme dans le secteur, les juges et les tribunaux doivent pouvoir exercer leurs fonctions de façon libre et impartiale. Le Togo travaille au renforcement de l’indépendance judiciaire, sans ingérence politique ni influence extérieure.

La sensibilisation de tous les acteurs du système judiciaire aux principes d’égalité et de non-discrimination en matière de protection des droits de l’homme est également assurée. Les pots-de-vin, les traitements de faveur, le clientélisme, la corruption… sont bannis.

À travers les maisons de justice, la population a facilement accès à la justice, ce qui facilite la conciliation et la médiation dans la résolution des petits litiges. En 2023, les maisons de justice établies sur le territoire ont enregistré 4 513 saisines.

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