Au Togo, la construction des ponts s’accélère, étant donné que ce sont des infrastructures indispensables au développement des communautés. Le président Faure Gnassingbé a promis que tous ses mandats seront sociaux, et c’est à cela qu’il s’en tient : faire en sorte que personne ne se sente exclu de la société.
Les ponts assurent la connectivité et l’accessibilité des régions éloignées. Par conséquent, cela améliore l’accessibilité aux services essentiels que sont la santé, l’éducation, les marchés.
Aussi, ces ouvrages de franchissement facilitent le transport des biens et des personnes, favorisant ainsi le commerce intérieur et extérieur. Ils stimulent l’économie en réduisant les coûts de transport et en accélérant les délais de livraison.
Mais encore, lorsque bien construits, ces ponts contribuent à promouvoir le tourisme en ouvrant l’accès à des sites naturels et culturels auparavant inaccessibles.
21 nouveaux ponts
En mars 2024, le pouvoir exécutif a lancé des travaux de construction de 21 ponts dans le cadre de la politique gouvernementale de désenclavement des zones rurales. Une fois à terme, les réalisations permettront aux populations bénéficiaires d’avoir accès.
Les travaux, à terme, devraient faciliter aux populations rurales bénéficiaires l’accès aux services socioéconomiques de base et l’écoulement rapide de leurs produits agricoles.
C’est un projet prévu pour être mis en œuvre dans les 5 régions économiques du pays. Il est financé par la France avec une enveloppe de plus de 65 milliards de francs CFA.
Les retombées directes
Le développement durable recherché par le Togo se trouvera accéléré. Les pouvoirs publics, dans tout le processus, mettent l’accent sur une construction de ces ponts qui puisse être réalisée de façon durable, de sorte que l’impact environnemental et social soit déterminant.
Cela inclut la préservation des écosystèmes locaux, la consultation des populations locales et la prise en compte des besoins à long terme en matière d’entretien et de durabilité des infrastructures en question.