La 29ème Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP29) a officiellement démarré le lundi 11 novembre 2024 à Bakou en Azerbaïdjan. Le chef de l’Etat togolais, Faure Essozimna Gnassingbé prend part aux travaux de cette rencontre de haut niveau sur le changement climatique. A Bakou, le Président de la République va présenter aux partenaires, les priorités portés par le son pays face à l’urgence climatique
« Je prends part à la 29e Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (#COP29) qui se tient du 11 au 22 novembre 2024 à Bakou en Azerbaïdjan », a posté le chef de l’Etat sur son compte X.
pour la « Ce grand rendez-vous annuel nous offre une tribune pour discuter de la mise en œuvre des engagements internationaux finance climatique et la protection de la biodiversité », a-t-il précisé avant d’ajouter que « Fort de notre expérience dans la promotion des énergies renouvelables et de la préservation de l’écosystème, nous aurons à cœur d’échanger avec nos partenaires, sur les enjeux mondiaux, et les priorités portées par le #Togo, face à l’urgence climatique ».
Ainsi, à Bakou en Azerbaïdjan, pendant deux semaines, délégués et officiels de 198 pays mèneront des discussions sur des questions cruciales. Axés sur la finance climatique, les travaux seront l’occasion de faire le point sur les actions menées jusqu’alors, et d’intensifier l’engagement. Plusieurs décisions concrètes sont d’ailleurs attendues dans ce sens.
Pour le Togo, la dernière participation à Dubaï a été fructueuse avec notamment trois accords de financements conclus, le Sommet de Bakou demeure une nouvelle opportunité ^pour la mise en œuvre de la stratégie nationale de mobilisation d’investissements. A la 29ème Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (#COP29) à Bakou, le Président de la République aura, en marge des activités officielles, des discussions avec ses pairs, des partenaires bilatéraux et multilatéraux sur l’urgence d’une action collective, les priorités portées par le pays ainsi que ses attentes.
En rappel, le Togo, signataire de l’Accord de Paris, s’est engagé pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre, à travers une politique de promotion des énergies de renouvelables et de préservation de la biodiversité.